Pour conclure la discussion sur le communisme en tant que société idéale de l’avenir, je voudrais m’attarder sur une autre raison pour laquelle il a échoué dans le monde de la troisième dimension, malgré tous les bons objectifs et toutes les bonnes intentions que les gens y ont mis.
Puisque le monde tridimensionnel est dual, même en essayant d’égaliser les droits de chacun, le système communiste a néanmoins prévu une division entre les travailleurs, les paysans et les intellectuels.
Et bien que cette division soit très conditionnelle, parce qu’elle était permise et qu’il y avait souvent un “flux” de personnes d’une catégorie à l’autre, cette division de classe était néanmoins préservée.
Rappelez-vous, par exemple, l’expression “origine ouvrière et paysanne”.
Même si une personne recevait une éducation supérieure, grâce à laquelle elle appartenait déjà à la catégorie des intellectuels, la “trace” de son origine la suivait tout au long de sa vie.
Pourquoi en est-il ainsi ?
Tout d’abord, en raison des racines historiques et des traditions, lorsque la société était divisée en aristocratie et roturiers.
Cette division était déjà inscrite dans la mémoire génétique des gens.
Par conséquent, cette division entre les “sangs bleus” et les autres a encore accentué la stratification de la société.
Et malgré toutes les tentatives d’aplanir cette situation en donnant naissance à une nouvelle catégorie de personnes – la soi-disant “intelligentsia ouvrière”, ces personnes sont restées, dans leur subconscient, un “moule” de l’inégalité sociale qui a duré pendant des siècles.
Et inversement, les personnes dont les ancêtres étaient des aristocrates ont continué à se considérer comme des personnes de la catégorie la plus élevée, même si elles ne représentaient pas elles-mêmes une valeur particulière pour la société.
En d’autres termes, l’évaluation des personnes non pas en fonction de leurs actes et de leurs réalisations au profit des personnes, mais en fonction de leur origine, a empêché la création de la société de l’Unité, de l’Égalité et de la Fraternité dans sa version idéale.
Et ce n’est que dans le monde de la Cinquième Dimension, où le critère d’évaluation de toute personne sera le niveau de ses vibrations et de sa contribution personnelle à la cause commune, que la société idéale pourra émerger, où chacun se sentira vraiment heureux, libre et égal, indépendamment de son passé – qu’il s’agisse de son origine ou de son statut social.
C’est ce à quoi nous allons nous attacher aujourd’hui.
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